Tous ces propos datés ne peuvent avoir de répercussions juridiques. Plus maintenant. Christophe Roquilly, professeur de droit à l'EDHEC Business School et directeur de LegalEdhec, nous a confirmé que tous ces propos dépendent de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, qui tient pour responsable chaque personne des propos qu'elle publie sur internet, Twitter compris évidemment. «Ensuite, explique-t-il, il faut savoir quelle qualification juridique on y donne, si c'est de l'injure, de la diffamation, de la provocation à la haine, à la violence ou au négationnisme,...»
Tous ces propos datés ne peuvent avoir de répercussions juridiques. Plus maintenant. Christophe Roquilly, professeur de droit à l'EDHEC Business School et directeur de LegalEdhec, nous a confirmé que tous ces propos dépendent de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, qui tient pour responsable chaque personne des propos qu'elle publie sur internet, Twitter compris évidemment. «Ensuite, explique-t-il, il faut savoir quelle qualification juridique on y donne, si c'est de l'injure, de la diffamation, de la provocation à la haine, à la violence ou au négationnisme,...»
Type: | Press article |
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Date: | le 22/03/2017 |
Source : | Slate |