Le mentorat pour aborder les études sereinement
Amélie Bennet, étudiante en Pré-Master sur le campus de Lille & Cécile Chen, étudiante en Master 1, filière Business Management nous parlent de leur expérience du mentorat.
Pourquoi vous êtes-vous engagées dans cette démarche ?
Amélie Bennet : Étant étudiante de classe préparatoire D1 (droit économie), je n'avais pas fait de mathématiques depuis la terminale. La matière Data Analysis étant une matière exigeante et rigoureuse, j'ai très vite ressenti le besoin d'avoir de l'aide
afin de me préparer au mieux pour mes examens. Cette démarche me semblait donc nécessaire.
Cécile Chen : Tout d’abord, j’avais absolument adoré le cours de Data Analysis (introduction et multivariate) lors de mon premier semestre en Pré-Master, mes professeurs étaient très intéressants et avaient réussi à me captiver. De plus, j’avais déjà eu de l’expérience en « mentorat » l’année précédente en aidant une amie qui venait d’hypokhâgne/khâgne et qui n’avait pas fait de mathématiques depuis 5 ans. J’avais trouvé l’exercice de vulgarisation -expliquer l’idée derrière les définitions et les formules surtout- challengeant et riche. C’était une très belle expérience de « tutorat » d’autant plus après avoir vu sa réussite aux examens. Alors tout naturellement, quand l’occasion s’est présentée, j’ai voulu contribuer de nouveau !
Qu’en avez-vous retiré ?
Amélie Bennet : Le mentorat a été une réelle opportunité pour moi. Cela m'a beaucoup aidée pour réussir mes examens. En effet, le simple fait qu'un autre élève nous réexplique différemment et de manière plus détaillée le cours peut nous aider énormément. Le mentorat m'a permis de faire mon année de Pré-Master sereinement, car je savais que j'avais un soutien.
Je recommande le mentorat, car c'est un excellent moyen d'obtenir de l'aide et un accompagnement. De plus, le mentorat met en avant le partage entre les étudiants au sein de l'EDHEC.
Cécile Chen : Tout d’abord, j’ai pu replonger dans mes cours de Data Analysis et c’était un réel plaisir de revoir le contenu de ce dernier car en Master 1, nous n’avons plus de cours de data à proprement parler. J’ai pu également solidifier mes connaissances et lier ce que j’avais appris en Pré-Master à ce que j’ai appris cette année en matière de management des systèmes d’information (cours de M1). Enfin, j’en tire surtout une satisfaction personnelle quand je vois que je peux aider un.e EDHEC.
